Toujours sur le dossier de la fourrière de Vaux-le-Pénil et des accusations de maltraitance animale, j'ai accueilli à ma permanence parlementaire plusieurs bénévoles d'associations de protection animale qui m'avaient alerté sur la situation là-bas. Parmi elles, une ancienne salariée de la SACPA de Vaux-le-Pénil. Toutes témoignent des conditions désastreuses des animaux qui y sont stockés avec trois options possibles : restitution, transfert à l’adoption, euthanasie. On ne pourra plus dire que l'on ne savait pas. Il y a trop de preuves : les autorités compétentes doivent agir au plus vite.