Nomination de François Jacq à la présidence du CNES
- Arnaud Saint-Martin
- 1 mai
- 1 min de lecture
Hier en commission affaires économiques, nous devions statuer la nomination, par le président de la République, de François Jacq à la présidence du CNES. J’étais chargé par le groupe LFI/NFP de préciser notre position. Pour une raison de principe, de méthode, nous avons voté « contre » car la méthode ne nous convient pas. Il eût été plus légitime de l’envisager après l’élaboration en cours de la stratégie spatiale nationale, à laquelle le parlement et d’autres acteurs de la politique spatiale sont associés. C’est une fois consolidée cette stratégie que nous aurions pu juger sur pièces, et en connaissance de cause, la pertinence de cette nomination. M. Jacq a finalement été confirmé par le Sénat et l’Assemblée nationale. Lors de l’audition, il aura pu préciser ses vues et répondre à nos questions sur – entre autres – le devenir du CNES, la coopération internationale ou encore la planification écologique du spatial.